Kita dans MV : L'avenir de l'absence de cotisations – parents et communes en conflit !
Discussion au parlement du Land sur les crèches non contributives à MV : financement, défis et réponses à la hausse des coûts.

Kita dans MV : L'avenir de l'absence de cotisations – parents et communes en conflit !
Au Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale, la liberté de contribution pour les crèches est menacée. Comment rapport de non-remise Selon des informations, les parlementaires discutent d'une éventuelle révision et d'un ajustement du modèle actuel. En raison d'un rapport du Bureau national d'audit et de la situation financière tendue des communes, la pression s'est accrue pour réorganiser le financement des crèches non contributives.
Les familles de Mecklembourg-Poméranie occidentale bénéficient depuis cinq ans d'une garde d'enfants gratuite, ce qui a entraîné l'année dernière des coûts totaux de 923 millions d'euros. L'État est responsable de 503 millions d'euros, tandis que les 420 millions d'euros restants doivent être collectés par les communes et les districts. La coalition rouge-rouge garantit la gratuité des services de garde d'enfants, mais le groupe parlementaire CDU exprime ses inquiétudes et appelle à davantage de soutien aux communes.
Pression financière et nouvelles exigences
Les représentants municipaux ne se lassent pas d'exiger davantage d'aide de l'État alors que les coûts continuent d'augmenter en raison de la hausse des coûts du personnel et de l'énergie. La maire Birgit Czarschka a déjà lancé un processus de révision visant à remettre en question la liberté de contribuer dans le contexte de l'évolution des conditions-cadres. Dans le même temps, Heiner Rebschläger, président du Conseil national des parents de Kita, a souligné que certains parents seraient prêts à payer des cotisations si la qualité des soins s'améliorait.
Une autre suggestion vient du maire de Grevesmühlen, Lars Prahler, qui a évoqué un tarif de 50 euros par garderie ou par place après l'école. Ces frais pourraient servir à remédier au manque de personnel et aux exigences croissantes en matière de qualité des soins. Même si le gouvernement du Land rouge-rouge s'en tient à l'exonération des frais, le chef du groupe parlementaire du SPD, Julian Barlen, affirme que ce n'est pas une option étant donné les goulots d'étranglement financiers actuels.
Qualité de la garderie et ratio de garde
Comme le montre la discussion, la qualité des services de garde est un point central du débat. Alors que la Fondation Bertelsmann de Mecklembourg-Poméranie occidentale certifie le pire taux de garde d'enfants de toute l'Allemagne, les longues heures d'ouverture et le taux de garde d'enfants élevé sont des aspects positifs que les familles apprécient. La dirigeante des Verts, Constanze Oehlrich, appelle donc d'urgence à investir dans l'amélioration des soins et à réduire les groupes pour garantir une meilleure qualité.
Le défi consiste désormais à trouver l’équilibre entre l’exonération de taxes souhaitée et la charge financière croissante qui pèse sur les communes. L'augmentation annuelle des coûts d'environ 100 millions d'euros représente un problème sérieux, provoqué par le manque de recettes fiscales et l'augmentation des dépenses. Le débat a été lancé sur l'avenir du financement des garderies en Mecklembourg-Poméranie occidentale.
Les mois à venir montreront si la coalition rouge-rouge peut tenir ses engagements ou si des changements sont nécessaires pour continuer à garantir une garde d’enfants de haute qualité. En attendant, la question reste d’une importance capitale pour de nombreuses familles du pays.